Les absences, quelle plaie - 26 janvier 2012
Je n'étais pas intervenu depuis la rentrée mais là, j'avoue que j'ai du mal à ne pas vous faire partager mon sentiment actuel.
Comment peut-on expliquer toutes ces absences des enseignants? La catégorie socio-professionnelle des enseignants est-elle à ce point sensible à la maladie? Il me semble qu'en ce moment il nous manque 2 enseignants, certes remplacés mais là où cela devient risible, c'est lorsque la remplaçante tombe à son tour subitement malade aussi ... Et voilà l'institution en train de remplacer la remplaçante ...
Vous êtes d'autant plus sceptique sur le bien-fondé de certains de ces arrêts quand vous avez vu la veille ou l'avant-veille la personne en pleine possession de ses moyens. Visiblement l'Education Nationale n'est pas pressée d'instaurer des contrôles d'arrêt maladie parce que je suis sûr qu'il y a des abus qui jettent un discrédit sur cette profession alors qu'il y a aussi quelques professeurs capables de faire cours en étant eux vraiment malade et dans un état nécessitant un arrêt de travail. Le pire, c'est que je ne suis même pas certain que ces enseignants assidus, jamais en arrêt, soient mieux vus que les tire-au-flanc en arrêt au moindre symptôme pouvant faire l'objet d'une automédication efficace!
La palme revient à ceux qui peuvent invoquer la dépression. Certains sont parfois réellement malades de leur travail et je ne leur jette pas la pierre mais combien auront su se plaindre abusivement auprès d'un médecin un tant soi peu conciliant?
Ce n'est pas faute de leur avoir souhaité la santé en ce début d'année 2012!
Comment peut-on expliquer toutes ces absences des enseignants? La catégorie socio-professionnelle des enseignants est-elle à ce point sensible à la maladie? Il me semble qu'en ce moment il nous manque 2 enseignants, certes remplacés mais là où cela devient risible, c'est lorsque la remplaçante tombe à son tour subitement malade aussi ... Et voilà l'institution en train de remplacer la remplaçante ...
Vous êtes d'autant plus sceptique sur le bien-fondé de certains de ces arrêts quand vous avez vu la veille ou l'avant-veille la personne en pleine possession de ses moyens. Visiblement l'Education Nationale n'est pas pressée d'instaurer des contrôles d'arrêt maladie parce que je suis sûr qu'il y a des abus qui jettent un discrédit sur cette profession alors qu'il y a aussi quelques professeurs capables de faire cours en étant eux vraiment malade et dans un état nécessitant un arrêt de travail. Le pire, c'est que je ne suis même pas certain que ces enseignants assidus, jamais en arrêt, soient mieux vus que les tire-au-flanc en arrêt au moindre symptôme pouvant faire l'objet d'une automédication efficace!
La palme revient à ceux qui peuvent invoquer la dépression. Certains sont parfois réellement malades de leur travail et je ne leur jette pas la pierre mais combien auront su se plaindre abusivement auprès d'un médecin un tant soi peu conciliant?
Ce n'est pas faute de leur avoir souhaité la santé en ce début d'année 2012!
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